La demoiselle a cent ans, c’est un livre d’histoire
Qui défile chaque jour dans son regard
Un siècle de pages ouvertes sur l’infini
Sur ses lèvres qui tendrement nous sourient.
Avec douceur sa voix cherche les mots venus de si loin
Comme si l’écho du temps passé se déliait enfin
Venant de son cœur qui palpite au gré des saisons
Sous sa pelisse qui la protége des petits frissons
La dame a cent ans, c’est un roman d’amour
Qu’elle a du offrir jour après jour
A ceux qu’elle protége au creux de sa mémoire
Avec le secret espoir de les revoir.
Au lever de chaque nouvelle aurore
Le temps de réchauffer son corps
Elle sent les odeurs d’un nouveau matin
Venir simplement lui prendre la main.
La demoiselle a cent ans, c’est un recueil de poésie
Qui s’ouvre à chaque page de sa vie
Où toutes les émotions et sensations ressenties
Se lisent sous la candeur de ses yeux endormis.
A la lueur de chaque crépuscule un peu frileux
Elle aime cet instant de complicité à deux
Où d’un baiser sur le front et un signe de la main
Nous l’accompagnons vers demain.
Sa nuit doit alors se peupler de rêves éveillés
Composés de toutes ces années mélangées
Où la petite fille, l’épouse, et la mère
Se retrouvent derrière ses paupières de grand-mère.
La dame a cent ans, c’est un livre d’histoire
Dont elle nous fait gracieusement le partage
Un siècle de pages ouvertes sur l’infini
Sur ses lèvres qui tendrement nous sourient.
Isabelle
Qui défile chaque jour dans son regard
Un siècle de pages ouvertes sur l’infini
Sur ses lèvres qui tendrement nous sourient.
Avec douceur sa voix cherche les mots venus de si loin
Comme si l’écho du temps passé se déliait enfin
Venant de son cœur qui palpite au gré des saisons
Sous sa pelisse qui la protége des petits frissons
La dame a cent ans, c’est un roman d’amour
Qu’elle a du offrir jour après jour
A ceux qu’elle protége au creux de sa mémoire
Avec le secret espoir de les revoir.
Au lever de chaque nouvelle aurore
Le temps de réchauffer son corps
Elle sent les odeurs d’un nouveau matin
Venir simplement lui prendre la main.
La demoiselle a cent ans, c’est un recueil de poésie
Qui s’ouvre à chaque page de sa vie
Où toutes les émotions et sensations ressenties
Se lisent sous la candeur de ses yeux endormis.
A la lueur de chaque crépuscule un peu frileux
Elle aime cet instant de complicité à deux
Où d’un baiser sur le front et un signe de la main
Nous l’accompagnons vers demain.
Sa nuit doit alors se peupler de rêves éveillés
Composés de toutes ces années mélangées
Où la petite fille, l’épouse, et la mère
Se retrouvent derrière ses paupières de grand-mère.
La dame a cent ans, c’est un livre d’histoire
Dont elle nous fait gracieusement le partage
Un siècle de pages ouvertes sur l’infini
Sur ses lèvres qui tendrement nous sourient.
Isabelle